Position coloniale et religieuse

En 1837, en adoptant les 10 propositions Russell, Londres rejette non seulement toutes les propositions des Patriotes, mais autorise même le Conseil exécutif à prélever de l'argent sur le budget de l'Assemblée sans l'accord de celle-ci. Un pas de plus vers l'assimilation des Canadiens français.

Par ailleurs, l'Église s'oppose aux revendications du Parti patriote et aux idées libérales, demandant de respecter les autorités coloniales et menaçant d'excommunication tous ceux qui prendraient part aux rébellions.